Pour la FSU, les personnels de l’éducation ont toutes les raisons de se mettre en grève le 26 janvier.

Dans le supérieur, après des mois d’une contestation très large, la loi de programmation de la recherche a été promulguée le 24 décembre. Elle contient tous les éléments de destruction des statuts nationaux, de précarisation, de mise en concurrence des établissements et des personnels que la FSU avait dénoncés.

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Dans le secondaire, une revalorisation fantôme, 1883 suppressions de postes dans le second degré à la rentrée 2021 (54 suppressions dans notre académie), des réformes qui malmènent nos métiers, une gestion chaotique de la crise sanitaire, un Grenelle de l’Education qui tourne au fiasco…cela suffit !

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Les enseignant-e-s d’EPS de l’enseignement public et les professeurs de sport, dans les collèges et lycées , la fermeture des gymnases est incompréhensible alors que les élèves sont entassés dans des salles de 50m²pour suivre les cours. La pratique sportive est essentielle pour la santé de chacun·e, elle participe de la lutte contre la pandémie en maintenant et développant la condition physique et psychologique. Le SNEP/FSU demande au ministère à pouvoir faire cours partout avec des demi-groupes parce que, là où cette disposition a pu être prise, elle est plébiscitée par les élèves et les enseignant·es et permet le respect de toutes les consignes sanitaires.

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Dans le 1er degré, alors que l’école a fait sa rentrée dans une situation épidémique incertaine, le ministère poursuit son projet néfaste pour l’école sans tenir compte du mécontentement grandissant.

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La santé scolaire, au travers du projet de loi 4D sur la décentralisation, le gouvernement veut sortir les infirmiers scolaires des établissements scolaires vers les collectivités territoriales. Pour la FSU, ce projet enterre le concept de santé à l’Ecole et avec lui la réponse aux besoins exprimés des jeunes. Il balaie d’un revers de main la reconnaissance de la spécialité infirmière. Le gouvernement doit retirer son projet.

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Les services administratifs de gestion des établissements scolaires, toujours dans le cadre du projet de loi 4D, il est  envisagé de placer les adjoint.es-gestionnaires des EPLE sous une double autorité : celle de l’État, représenté par le chef d’établissement et celle de la collectivité territoriale (département pour les collèges ou région pour les lycées).

Pour la FSU si cette mesure devait voir le jour, elle aggraverait la situation que connaît nombre d’adjoint.es-gestionnaires actuellement en créant les conditions structurelles d’injonctions paradoxales permanentes.

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Tract départemental.